Recherche
Le terme » Contre-Réforme « , forgé au 18e siècle, indique ordinairement la période où l’Eglise de Rome réagit contre les » hérésies » luthérienne, zwinglienne et calviniste : environs de 1550 à 1650. Le Colloque de Ratisbonne, où le cardinal Contarini s’efforce de réunir les forces réformatrices modérées de la chrétienté, et qui, selon la volonté de Charles Quint, devait recomposer l’unité religieuse de son Empire, échoue en 1541.
Il est né en 1182, dans la famille Bernardone, à Assise. Son père Pietro, un riche marchand, le prénomme Francesco (François).
François de Sales naît au château de Sales au nord d’Annecy, le 21 août 1567. Sa famille est de petite noblesse rurale.
Le mot » prosélytisme » vient du grec prosèlutos qui est lui-même la traduction de l’hébreu ger qui désigne l’étranger installé dans le pays et naturalisé. Le terme prosélyte est utilisé dans le Nouveau Testament pour désigner le païen qui est venu s’ajouter au peuple juif en pratiquant sa religion (Actes 13,16), mais aussi en acceptant la circoncision (Actes 2,10).
Jusqu’à la fin du Moyen-Age, c’est l’institution ecclésiale qui se chargeait de l’enquête concernant les hérétiques, le bras séculier mettant en œuvre leur éventuelle condamnation. A partir de ce moment-là, c’est une institution particulière soumise à l’évêque qui va en être chargée : l’Inquisition.
Le » sacerdoce » est la fonction du prêtre ; elle consiste à être l’intermédiaire entre Dieu et les hommes. C’est à partir de la Réforme D'après l'évangile selon Luc, Marie dépose son enfant, Jésus, dans une mangeoire (Luc 2,7).
La Confession d’Augsbourg écrite en 1555 (par le Réformateur Mélanchthon) est la confession de foi fondamentale du luthéranisme. Elle constitue aujourd’hui la référence pour toutes les Eglises luthériennes.
Ce terme vient d’Augustin Augustin est sans doute le plus célèbre des Pères de l'Eglise. C'est lui qui a laissé l'œuvre la plus abondante, la mieux conservée et qui a produit un héritage important, même si ses héritiers n'ont pas toujours été fidèles à la pensée du maître.
La confession de foi est un texte de référence qui exprime la doctrine de l’Eglise. Elle a pour but de maintenir une prédication fidèle de l’Evangile.