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Ces quatre conciles des 4e et 5e siècles sont appelés « œcuméniques » en raison de leur capacité à rassembler des représentants de (presque) toutes les Églises. Leur contenu montre combien la question des rapports entre Jésus-Christ, Dieu et l’Esprit-Saint ne seront finalement précisés qu’au terme de ces quatre conciles.
Une cosmogonie est un récit mythologique qui décrit ou explique la formation du Monde. La cosmogonie se distingue de la cosmologie, qui est l’étude scientifique relative à l’origine du monde et de l’univers et aux lois qui les gouvernent.
Né à Strasbourg, Cullmann a été professeur de Nouveau Testament et d’histoire du christianisme ancien aux Universités de Strasbourg, Bâle et Paris. Très engagé dans le dialogue œcuménique, il participa, comme observateur invité au Concile de Vatican II.
Le docétisme désigne un ensemble de tendances christologiques du début du christianisme, pour lesquelles le christ « se faisant chair » ne signifie pas qu’il se fait « homme ». Les théologiens docètes interprètent littéralement le verset de l’évangile selon Jean 1,14 où il est écrit que « la Parole se fit chair ».
Eunome ou Eunomius, mort vers 395, est une personnalité du christianisme ancien du 4e siècle, originaire de Cappadoce qui fut évêque de Cyzique. Il était tenant du courant anoméen de l’arianisme*.
Galien, né à Pergame en Asie Mineure en 129 et mort vers 201, est un médecin grec qui exerça à Pergame et à Rome où il soigna plusieurs empereurs. Auteur prolifique, en s’appuyant à la fois sur la raison et l’expérience, il s’est efforcé tout au long de sa vie de construire un système explicatif global de l’art médical.
Gog et Magog sont le plus souvent associés. Ils sont cités dans Ge 10.
Hippolyte est grec, originaire d’Alexandrie, ancien élève d’Irénée de Lyon Irénée est originaire d'Asie Mineure. Il rapporte qu'encore jeune il a entendu le vieux Polycarpe, évêque de Smyrne, ce qui, en conséquence, situe sa naissance entre 130 et 140.
L’immanence désigne, en philosophie et en parlant d’une chose ou d’un être, le caractère de ce qui a son principe en soi-même, par opposition à la transcendance* (c’est-à-dire qui est au-delà du perceptible) qui indique une cause extérieure et supérieure. Un principe métaphysique immanent est donc un principe dont non seulement l’activité n’est pas séparable de ce sur quoi il agit, mais qui le constitue de manière interne.
Procédé littéraire consistant à placer un matériau similaire au début et à la fin d’une section de texte, formant un « cadre » qui délimite et met en évidence la section. Dans la Bible l’utilisation des inclusions et des structures concentriques est très répandu tant au niveau de la microstructure de texte (phrase, paragraphe, etc.