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Réformateur français né à Noyon. Il a une formation d’humaniste, étudiant les lettres, la philosophie, le droit, l’hébreu, le grec, la théologie en divers lieux universitaires (Paris, Orléans, Bourges).
On désigne ainsi l’ensemble des lois du droit ecclésiastique de l’Eglise catholique romaine. Il contient les règles qui doivent s’appliquer dans l’Eglise en matière de foi et de discipline.
Le nom vient du latin missa, la messe. Il s’agit en effet du livre contenant les textes de prières, les lectures et les hymnes pour la célébration de la messe dans l’Eglise catholique romaine.
Philosophe italien appelé le » prince des érudits « . A Padoue, il étudie l’arabe, l’hébreu, l’araméen et s’initie à la Kabbale (courant ésotérique du judaïsme déjà présent dans l’Antiquité, mais dont les principaux ouvrages sont apparus au Moyen Age).
Dans la nuit du 17 octobre 1534, des centaines de petites affiches critiquant la messe sont » placardées » à Paris et dans d’autres villes, jusque dans les appartements royaux. Cet événement va déterminer le roi à réprimer les tenants des idées évangéliques, alors que jusque-là François 1er ne s’était pas opposé à eux.
Ce terme vient d’Augustin. Mais c’est surtout au Réformateur Jean Calvin qu’on associe ce mot par lequel est désigné un des points essentiels de sa théologie.
Réformateur suisse. Comme Calvin, il étudie au Collège Montaigu à Paris.
Du latin vulgatus, répandu. On désigne ainsi la traduction latine de la Bible par Jérôme (vers 347-419).
Guillaume Briçonnet, évêque de Meaux, participe au mouvement de redécouverte de l’Evangile qui se développe dans les années 1520-1530. Nourri de la pensée et des travaux humanistes, ce courant prône un retour aux textes bibliques originaux traduits dans la langue du peuple, même si c’est d’abord un mouvement d’érudits.
En 1559 se tient à Paris le premier synode de l’Eglise réformée en France. Les nobles réformés, proches de la cour, espèrent infléchir la politique en faveur de la Réforme.