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La sainteté est un attribut fondamental de Dieu. L’homme créé à l’image de Dieu est appelé à la sainteté.
Du grec prosèlutos qui est lui-même la traduction de l’hébreu ger qui désigne l’étranger installé dans le pays et naturalisé. Le terme prosélyte est utilisé dans le Nouveau Testament pour désigner le païen qui est venu s’ajouter au peuple juif en pratiquant sa religion comme le » craignant Dieu » (Actes 10,2-22 ; 13,16), mais aussi en acceptant la circoncision (Actes 2,10 ; 6,5).
Du latin protestare, protester/attester. Cette appellation remonte à 1529 lorsque les villes et les princes allemands qui avaient adhéré à la Réforme refusent solennellement de condamner une doctrine qu’ils tiennent pour chrétienne et de prononcer son abolition dans leurs Etats.
Terme technique désignant le processus d’appropriation par l’ensemble de l’Eglise, d’un texte, d’une décision, d’un accord doctrinal, synodal, conciliaire ou interconfessionnel.
Désigne couramment les instances ecclésiales catholiques chargées de maintenir la saine doctrine, de l’enseigner et de trancher en cas de conflit doctrinal. Le magistère est assuré par les évêques, celui de Rome et tous les autres, et la curie romaine, aidés des théologiens.
Récit liturgique de la Cène, pendant la célébration eucharistique et plus largement rappel (anamnèse) de la mort et de la résurrection du Christ. Dans l’Eglise catholique et l’Eglise orthodoxe, une prière d’offrande du sacrifice du Christ et de l’Eglise est intimement associée à ce récit.
Ce terme vient de deux mots grecs : monos, » seul » et phusis, nature. Il désigne les chrétiens ou Eglises qui attribuent au Christ une seule nature.
Ce mot désigne toutes les formes de relations personnelles ou institutionnelles existant entre les diverses confessions chrétiennes. Il ne doit pas être confondu avec le vocable » interreligieux » qui a un sens plus large et désigne toutes les formes de relations personnelles et institutionnelles existant entre les grandes religions (christianisme, judaïsme, islam, hindouisme … ) .
Originaire d’Asie Mineure, Irénée avait passé sa jeunesse à Smyrne où il avait été en relations avec l’évêque de cette ville, Polycarpe, lequel avait reçu l’enseignement de Jean » qui avait vu le Seigneur « . Devenu évêque de Lyon en Gaule, vers 175, il fut mêlé à certaines controverses ecclésiastiques entre Eglises orientales et Rome sous les papes Eleuthère et Victor (175-199).
Jean Chrysostome (344-407), aussi appelé Jean » bouche d’or » (c’est le sens du mot chryso-stome) est originaire d’Antioche. Il devient évêque de Constantinople.