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Indulgences

L’indulgence existe dès le 11e siècle dans l’Eglise d’Occident. C’est la remise par l’Eglise des peines temporelles méritées par le pénitent en raison de ses péchés.

Eucharistie

Vient du verbe grec eucharistein ( » rendre grâces « ). Le mot désigne aujourd’hui le repas célébré en mémoire du dernier repas de Jésus avec ses disciples.

François d'Assise (1182-1226)

François naît en 1182, à Assise. Il doit son prénom Francesco au fait que son père, Pietro Bernardone, un riche marchand, fait du commerce avec la France et que sa mère, Pica, est d’origine provençale.

Hus, Jan (vers 1370-1415)

Jan Hus naît vers 1370 à Husinec en Bohême méridionale dans une famille rurale pauvre. Doué pour les études et avide de promotion sociale, il se rend à Prague, où il étudie les lettres puis la théologie.

Cène

C’est le nom donné au dernier repas de Jésus avec ses disciples. Il leur demande de partager après sa mort un tel repas en mémoire de lui.

Clément d'Alexandrie (vers 150-vers 215)

Clément devient vers 189 le directeur de l’Ecole d’Alexandrie où il enseigne jusqu’en 202. Cette école est un véritable centre d’études supérieures d’exégèse et de théologie.

Erasme (1469-1536)

Né à Rotterdam, il fut appelé  » le prince des humanistes « . Il entra au couvent des Augustins.

Ascétisme/ascétique/Ascèse

Vient du mot grec askesis qui veut dire  » exercice, peine que l’on endure « . On désigne par ascèse le choix religieux de limiter, voire de renoncer temporairement (ou définitivement) à la nourriture et/ou à la boisson, au confort d’une habitation (vie itinérante), au sommeil, au vêtement, aux biens sous toute forme, à une vie sexuelle, etc.

Pourquoi ces différences ?
On pense souvent que ce sont, d'abord et essentiellement, des raisons théologiques profondes qui ont généré des divisions entre les Eglises. Or il faut bien reconnaître que d'autres facteurs (culturels, sociaux, politiques...) ont joué et jouent encore un rôle important.
Porter ensemble la Parole
Face aux problèmes planétaires auxquels nous confronte la mondialisation et face aux défis spirituels de nos sociétés européennes sécularisées, les chrétiens ne doivent-ils pas avoir comme priorité l'annonce de l'Evangile ensemble, en paroles et en actes ?