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Altérité

Caractère de ce qui est autre, ou un autre. C’est le fait d’être différent de manière plus ou moins fondamentale : l’homme et la femme par exemple.

Communautarisme

Ce mot recouvre des expressions sociales et politiques diverses. Toutes soulignent l’importance de la communauté existante.

Concordat

Traité international qui organise les relations entre le Vatican (lui-même Etat reconnu avec des nonces pour ambassadeurs) et un Etat particulier afin de régler les questions d’ordre religieux les concernant l’un et l’autre. Un tel accord bilatéral précise juridiquement les conditions d’existence et d’activités de l’Eglise catholique sur le sol de l’Etat concerné.

Transcendance

D’une racine latine qui veut dire  » ce qui franchit, dépasse « . C’est l’extériorité ou la supériorité absolues.

Particulier

Ce terme désigne ce qui appartient en propre à une personne ou à une chose, ce qui caractérise un individu, un groupe, une communauté. Il est synonyme de singulier et s’oppose à universel Ce mot caractérise des réalités qui concernent ou devraient concerner l'ensemble des êtres ou des choses.

Universel

Ce mot caractérise des réalités qui concernent ou devraient concerner l’ensemble des êtres ou des choses. Il s’oppose à particulier Ce terme désigne ce qui appartient en propre à une personne ou à une chose, ce qui caractérise un individu, un groupe, une communauté.

Sacré

Le mot latin sacer désigne ce qui ne peut être touché sans être souillé ou sans souiller. Il y a de multiples définitions du sacré.

Séculier/Sécularisation

Ces mots viennent du latin saeculum qui veut dire le  » siècle  » ou le  » monde « . Est séculier tout ce qui concerne le monde profane, en dehors de toute référence religieuse.

Philosophes du soupçon

On doit cette expression au philosophe protestant français Paul Ricoeur (1913-2005). Il a désigné ainsi Marx, Nietzsche et Freud à cause de leur démarche critique radicale.

Positivisme/néo-positivisme

C’est, au départ, la pensée d’Auguste Comte (1798-1857) qui consiste à ne s’appuyer que sur les faits pour les décrire et en dégager des lois. Il ne s’intéresse pas au  » pourquoi  » des choses mais seulement au  » comment  » en vue de systématiser l’ensemble du savoir en une théorie de la connaissance.