Vivre - Culture

La fureur de vivre

La fureur de vivre est un film américain, réalisé par Nicholas Ray et sorti en 1955. Son titre original est Rebel Without a Cause, qui se traduit littéralement par « Un rebelle sans cause ». Ce film a vite connu un succès mondial. Peut-être parce qu’il raconte la désespérance d’une jeunesse qui se cherche sans parvenir à mettre des mots sur sa souffrance et sa solitude. La fureur de vivre décline le thème de la difficulté à aimer, à vivre en relation avec les autres, avec soi-même aussi. Privé d’idéal, « de cause », le héros rebelle ne parvient pourtant pas à calmer sa « fureur » : il est pris dans un engrenage de mort.

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La joie de vivre

La joie de vivre est un tableau d’Henri Matisse (1869-1954), peint en 1905. Une ample arabesque formée par les lignes et les couleurs atteste de l’intérêt naissant de l’artiste pour l’art oriental. L’emploi des couleurs pures, sans recours aux dégradés, et un dessin linéaire excluant les ombres est utilisé pour traiter une scène pastorale. Seules activités figurées : les plaisirs de l’amour, de la danse, de la cueillette et un état de volupté.Ce tableau célèbre la vie aux couleurs et aux plaisirs multiples : la vie est aussi une joie qui se donne à voir.

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La vie ne vaut rien

L’auteur-compositeur français Alain Souchon signe cette chanson qui célèbre tout à la fois la légèreté et la complexité de la vie. En quête de sens pour sa vie, le sujet de ces paroles (« il ») mesure la fragilité d’une vie à laquelle les hommes ne cessent de chercher des explications. Ici, toutes les philosophies, les religions, les attitudes que les hommes prennent dans leur vie sont mises à égalité. Au-delà de toutes les convictions qui existent, toutes semblent chercher à percer le mystère de cette vie sans en avoir véritablement les moyens.

« Il a tourné sa vie dans tous les sens
Pour savoir si ça avait un sens l’existence
Il a demandé leur avis à des tas de gens ravis
Ravis, ravis, de donner leur avis sur la vie
Il a traversé les vapeurs des derviches tourneurs
Des haschichs fumeurs et il a dit :
La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens, Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie, Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie,

Il a vu l’espace qui passe
Entre la jet set les fastes, les palaces
Et puis les techniciens de surface,
D’autres espèrent dans les clochers, les monastères
Voir le vieux sergent pépère mais ce n’est que Richard Gere,
Il est entré comme un insecte sur site d’Internet
Voir les gens des sectes et il a dit :
La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens, Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie, Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie

Il a vu manque d’amour, manque d’argent
Comme la vie c’est détergeant
Et comme ça nettoie les gens,
Il a joué jeux interdit pour des amis endormis,
Et il a dit : La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens, Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie, Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie. »

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