Pâques, c’est… un tombeau ouvert, un mort qui n’est pas resté là où on l’a posé, plein d’interrogations à propos de cette absence.
Et l’absent donne -par intermédiaires- ordre de rejoindre les routes où l’on peut le rencontrer: la Galilée pour les disciples, les Ecritures pour celles et ceux qui se mettent à sa recherche aujourd’hui.
Un tombeau ouvert… et des Ecritures qui s’ouvrent…
Bonnes Pâques!