Le temps liturgique que l’on appelle « carême » précède la fête de Pâques.
Pourquoi ce mot? Il vient du latin et veut dire « quarante ». Mais si vous comptez les jours du mercredi des cendres à Pâques, vous n’arrivez pas à quarante, mais à quarante-six ! Est-ce qu’on se serait trompé dans le calcul sans que personne ne l’ait remarqué? Non, c’est un compte qui dit une chose très importante: les dimanches, même à l’intérieur du temps de carême, restent des jours de résurrection, et ils ne sont donc pas comptés!
Est-ce que ce genre de calcul, c’est « couper les cheveux en quatre »?
Ou bien est-ce affirmer que dans un temps de réflexion et de remise en question, il ne faut pas oublier le « matin », la « lumière », le « relèvement » (traduction littérale de « résurrection »)?
A chacun, à chacune de voir!
En attendant, le chapitre « Pâques » https://www.theovie.org/Vivre-et-agir-dans-la-foi/Fetes-chretiennes/Paques peut vous accompagner dans votre réflexion!
Bon cheminement!